La vie cachée du président

Dimanche 22 janvier 2017

Vous le voyez souvent modeste, gentil, calme, prévenant. Vous savez qu’il est aussi cultivé, intéressant, plein d’idées. Certains savent même qu’il chante, dans la chorale, en ténor ou basse suivant le vent.
Mais savez-vous qu’il chante aussi en soliste à ses moments perdus ? Pour preuve sa remarquable prestation sur scène, mardi 17 janvier, à l’université Paris VIII, devant les 200 personnes du personnel. De l’émotion et du trac pour chanter l’air de Lenski (dans Eugène Onéguine de Tchaïkovski). Lenski va se battre en duel avec son copain Onéguine, il pense à tout ce qu’il va perdre s’il meurt, c’est des moments pas drôles à vivre. Michel Fagard avait l’air complètement accablé. Heureusement ça n’a pas duré trop longtemps.
Aurélien Gocel l’accompagnait au piano en le soutenant du regard pour l’encourager. Il jouait remarquablement sur un Börsenfelder (ou Besenförder ?) que l’université s’est offerte à ses moments de gloire.
Moment inoubliable qu’il fallait immortaliser sur le site Auberbabel.
Monique

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