Fête des association et rencontre avec la Chorale de l’Exil

Comment raconter ce samedi 1er juillet, à la...

Mardi 4 juillet 2017

Comment raconter ce samedi 1er juillet, à la fois fête de la ville et des associations et jour de la rencontre chorale avec le chœur de l’exil de Vendée ???
Déjà, se partager entre un stand et une répétition, c’est injouable.
Et pourtant, jusqu’à 16 h :
D’un côté une répétition de 2 chorales, dans le squat d’artistes Le Clos Sauvage. Reprise des chants travaillés dans l’année (ou pas), préparation du concert.
De l’autre, pluie battante, objectif : on protège les publications de la pluie, on accueille les référents allemand, polonais et danois, venus animer des groupes d’apprenants. Aucun apprenant présent, les organisateurs n’ayant pas prévenu de notre animation.
A 16h, le concert : aucun micro d’ambiance donc il paraît qu’on ne nous entendait pas au-delà d’un mètre. Et pourtant, à 30, nous y avons mis tout notre cœur. Un peu déçus, on n’a pas trop mal chanté. Avec 2 chefs en plus, c’est exceptionnel.

Eh bien nous aurons quand même un souvenir fantastique : au stand, les non-choristes étaient au rendez-vous, les référents se sont rencontrés, on a revu Barbara, Nina perdues de vue depuis longtemps, Judit, Paula et Nina ont donné de leur temps joyeusement, très bonne communication. Par ailleurs, perspectives de repas chinois, bengali, arménien, finnois…
On résume : concert privé, stand sans animation, on pourrait dire : fête ratée.
Et ben non ! Nous, les babéliens, on est contents.
Le soir, soirée chez les Poussière. Olivier et Dalila ont assuré un repas exotique coréen avec des pâtes de patate douce marinées. Des goûts jamais vus qui nous ont épatés. Un banquet qui a fini en chants bien sûr.


Et le lendemain, dimanche, Gérard était sur la sellette pour assurer la balade le long du canal de République à Stalingrad. Janine a bien participé aussi en rajoutant ses souvenirs personnels. On a fini par un casse-croûte au siège de l’association. Les Vendéens sont rentrés petit à petit. Et l’échange s’est terminé au soleil dans le jardin vers 17h.
Auberbabel a vécu une belle page de son histoire. A suivre !

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