Eh oui, le rythme mensuel est difficile à tenir, surtout seul. Mais je ne perds pas espoir, le CA élu à l’AG du 10 décembre rassemblait presque la moitié des participants, et pour peu qu’ils s’investissent ça fera de la main d’œuvre !
Et à propos main d’œuvre, le soixantième et dernier agenda 2024 a été terminé dimanche 17 décembre à 17 heures 30. Vingt-et-un exemplaires sont encore disponibles (voir photo). Le prix est passé à 17 euros pour compenser la hausse des tarifs d’impression. L‘équipe envisage de continuer à s’entraîner en faisant des carnets, vendus 10 euros (8 euros s’il est acheté avec un agenda).
La chorale a enfin trouvé un havre sûr, fourni par le Cèdre à la limite entre Aubervilliers et Paris (mais il n’y a pas de contrôle à la frontière), pas trop loin du siège de l’association. Nous continuons à mettre au point les chants un peu difficiles du répertoire (auquel nous n’avons ajouté qu’un numéro pour le chant oudmourte Mon todam vaisko). Nous nous sommes produits pour LACIM, avec un programme bien rodé qui a provoqué un tel enthousiasme que nous sommes redemandés pour le 22 au centre Frida Kahlo.
Nous sommes également sollicités le mercredi 13 mars, dans le cadre du festival des langues de l’université Paris 8, pour chanter et faire chanter les étudiants.
En ce qui concerne les repas linguistiques, nous avons trois projets solides pour les premiers mois de 2024 : polonais, bengali et hongrois, langues pour lesquelles nous avons des référents et des fiches linguistiques. Mais nous restons bien sûr à l’affût de langues nouvelles, tchouvache, mordve, youkaghir, inuit, fidjien, ewondo, lokono, etc. Si vous entendez des gens parler ces langues, donnez-leur l’adresse du site auberbabel.